Je reviens chez moi, après 3 ans durant, j'apprenais la langue et les m½urs d'un pays magnifique, la Chine. Je m'instruis non pas pour les
études, le savoir m'intéresse, constamment à l'affût d'enrichir ma culture, l'argent ne m'attire pas j'en possède suffisamment. Je ne
peux pas me venter d'être aisé, cette situation n'est pas cause de mes efforts mais de l'héritage de ma famille. Je voyage où vagabonde, je ne sais pas vraiment, depuis plusieurs années je fais comme bon me semble et profite de la vie comme je le peux.
L'avion atterrit, je ne me sens pas plus chez moi qu'ailleurs, je sors de l'engin seul et rentre dans l'aéroport après quelques pas sous une
véritable tempête. Fatigué du voyage et du décalage horaire, me rend aux toilettes pour vider ma vessie et ma tête de ce long trajet.
J'appelle ensuite un taxi, afin de me rendre à Paris, pour enfin rentrer dans ma demeure. La nature en ayant décidé autrement se déchaîne et la grêle se mettant à tomber devient un véritable danger, le taxi me rappel et m'annonce qu'il ne pourra pas me prendre. Fatigué, dépité, je décide de prendre une navette pour me rendre à l'hôtel le plus proche afin d'y passer la nuit.
Chose faite, un homme en costard sors mes valises de la navette pour ensuite m'accompagner dans le hall d'entré de l'hôtel. Il semble débordé et repart aussitôt pour remplir la mission qui l'attend. Je me retrouve seul, l'atmosphère tiède et reposante de cet hôtel me fait doucement rêver jusqu'à ce qu'une jeune femme, âgée d'une vingtaine d'années tout comme moi, m'accoste et se doutant logiquement qu'une personne qui se rend dans cet hôtel n'est pas sans argent, me demande sans gène si je peux l'héberger une nuit dans ma chambre, peu l'importe si elle dort par terre ou sur un lit.
Exténué, galant et sous le charme d'une charmante fille de mon âge qui semble savoir qu'elle a un certain effet sur les hommes, j'accepte sans trop réfléchir. Je me rend au comptoir accompagné de l'invitée inconnue puis prend une chambre pour la nuit.
La chambre n'est pas très grande mais luxueuse, une grande baie vitré en face du lit deux places laisse voir un magnifique couché de soleil qui offre à la pièce un reflet orangé des plus reposants. Deux tables de nuits en chêne sont situées de part et d'autre du grand lit blanc sur lequel je m'empresse de m'allonger après avoir jeté mes valises sur le canapé en cuir de buffle. La fille a disparu dans la salle de bain dès notre arrivée dans la chambre, je tombe dans un sommeil léger, sans m'inquiéter de ce qu'elle peut bien faire.
Soudain, un bruit me fait sortir de mon état de semi-somnolence, la silhouette de l'inconnue sortant de la salle de bain s'approche de moi dans le noir, le soleil ayant laissé place à la lune qui éclaire désormais juste ce qu'il faut pour me permettre d'apercevoir la silhouette de cette dernière. Ce long et pesant silence est brutalement interrompu.
-Je ne me suis pas présenté, je m'appelle Clémence.
-Enchanté Clémence.
-Merci de m'héberger cette nuit, je ne sais pas ce que j'aurais fait sans vous.
-C'est normal.
-Bon et bien je vais dormir sur le canapé si vous voulez.
-Non, surtout pas, venez dans le lit je vais dormir dans le canapé.
-Merci, mais restez dans le lit, il est assez grand pour deux personnes, on peut se tutoyer si ça ne vous dérange pas ?
-Ca ne me dérange pas du tout.
Clémence prend donc place à mes côtés dans le lit, elle s'endort directement. Je n'arrive pas à m'endormir avec cette présence à mes côtés, je n'ai pas l'habitude de dormir avec quelqu'un. Au bout de quelques minutes, un bruit de frottement étrange m'interpelle lorsque Clémence se met à bouger dans son sommeil. Je cherche alors sa provenance et n'y parviens pas puis j'arrive finalement à m'endormir...
Réveil agréable, je regarde sur mon téléphone, il est 10 heures et le soleil est revenu aujourd'hui, Clémence dort encore elle doit avoir une vie mouvementée pour dormir autant. Je vais dans la salle de bain, constate l'état déplorable dans lequel elle l'a laissée et j'aperçois un arsenal des moins banals sur le rebord du jacuzzi. Je m'approche et me rend compte que se dresse devant moi le matériel
nécessaire pour langer un nouveau née, du talc, un paquet de couches aux motifs enfantins, des lingettes ...
Je pense d'abord que Clémence a un bébé mais alors pourquoi avoir sorti le matériel pour le langer si son bébé n'est pas avec elle ?
Ou bien cet attirail aurait-il un rapport avec le bruit infernal de frottement que j'ai entendu toute la nuit, elle porterait des couches à son âge ?
Un bruit survient, Clémence se réveil, elle se lève et semble approcher de la salle de bain. Je n'ai pas fermé la serrure, elle entre donc et me surprend proche de ses affaires. Qui de nous deux est le plus gêné à ce moment précis, je ne saurais le dire.
Elle rougit, je palis, mes doutes se confirment elle est effectivement vêtue d'un pyjama léger laissant apparaître une épaisse couche volumineuse en dessous. Elle me regarde comme un enfant qu'on fâche ou bien qui vient d'être pris en train de faire une bêtise.
Elle me bafouille quelques mots laissant deviner une certaine honte.
-Euhh.. Je... J'ai..
-Oui ?
-...
-Tu sais ce n'est pas dramatique d'avoir une maladie.
-Les gens se moquent de moi d'habitude...
-Ils ont une vie bien triste si ils s'attardent sur ta maladie ...
-Merci de me comprendre, ce n'est pas facile tout les jours.
Je sors alors de la salle de bain, c'est tout de même étrange qu'elle ait laissé tant d'indice de son problème si elle ne voulait pas que je le
découvre. Clémence sort soudain de la salle de bain, Dévêtue avec comme seul vêtement une couche, elle prend un air enfantin, rougit et verse une larme.
Elle me demande de la changer, prétextant ne pas y parvenir seule, n'ayant pas l'habitude de se changer elle même, compréhensif bien que soupçonnant un vice, j'accepte même si je ne sais pas faire. Elle me prit par la main, me tire dans la salle de bain et s'allonge au sol
sur le tapis car le marbre par terre est froid et peu confortable. Je prend donc une couche dans le paquet, lui demande ce qu'il faut d'autre, elle pointe du doigt le talc puis me guide dans les étapes, je défais les scratchs puis rabat le devant de la protection, exposant son sexe encore humide devant moi.
Elle semble excitée puis honteuse à la fois, je n'y comprend plus grand chose mais continue à suivre sa voix. Elle soulève ses belles fesses de grande enfant pour me permettre de retirer la couche, chose faite elle lève les deux jambes exposant sans gène son sexe et ses fesses devant moi, la nymphe parle toujours, je suis ses directives et talc son derrière rebondi puis son sexe après l'avoir essuyé avec une lingette, sa voix sanglote légèrement à ce moment précis. Je glisse une nouvelle couche sous elle puis la referme en faisant comme elle me le dit.
C'est la première fois que je ressens quelque chose d'aussi intense, un nouveau plaisir ou bien une nouvelle sensation, l'inconnue m'a rendu ad dicte à elle, tout se chamboule dans ma tête, tout est flou. Je l'aime sans la connaitre. Elle me regarde satisfaite ,puis d'un air passionnée me fixe un long moment jusqu'au retour à la réalité ou nous nous sentons tous deux gênés mais pourtant comblé.
-Merci
Me dit-elle, à quoi je ne répond rien. Je sors de la salle de bain puis nous descendons tous deux au restaurant pour y déjeuner, nous nous asseyons, après un bref instant un serveur vient demander ce que nous voulons, elle demande un chocolat chaud avec un croissant et de la confiture de groseille, je prend un café avec une tartine au miel.
Je réfléchis pendant ce repas à ce qu'il venait de se passer et déduis que Clémence n'a pas l'air plus malade que moi et qu'elle semble même prendre plaisir à jouer son jeux d'enfant incontinente, j'avoue
qu'il ne me déplaît pas non plus et décide de continuer à faire le naïf ou bien même à rentrer dans son jeux. Clémence prend la parole.
-Il va falloir se dire au revoir, tu vas rentrer chez toi et moi je vais continuer ma vie.
-Tu n'as pas de maison ?
- Non, je viens de tout quitter pour voyager et découvrir le monde.
-Tu comptes te rendre où à présent ?
-Je ne sais pas.
- Si tu le souhaite je t'héberge un moment dans mon domaine à Paris le temps que tu te repose.
-Non, ce serait bien mais tu as déjà fait beaucoup pour moi, je te remercie quand même.
-Si j'insiste, ça ne me dérange pas du tout.
-Très bien, alors si tu insistes mais je t'aiderai dans les corvées le temps de mon séjour.
Satisfait de constater qu'elle est d'accord pour venir passer du temps chez moi, je ne réponds rien et nous finissons le déjeuner.
Le temps s'est calmé, un taxi vient nous chercher puis 1 heure de route s'annonce devant nous ...
Puis, 30 minutes plus tard en pleine discussion avec Clémence je remarque qu'elle commence à se tortiller sur son siège, je lui demande si elle veut aller aux toilettes mais elle refuse, presque vexée, prétextant être assez grande pour prendre ses responsabilités et se retenir 30 minutes. Le voyage passe, l'envie de Clémence aussi apparemment car elle ne se tortille plus dans tous les sens, nous arrivons chez moi, une domestique vient prendre mes lourdes valises et celles de Clémence aussi. Nous allons dans le salon pour parler un peu, déjà complice malgré le peu de temps passé ensemble, nous allons nous baigner dans ma piscine, Clémence n'a pas de maillot de bain.
- Cela te dérange si je mets une protection d'eau par dessus ma couche ?..
-Non pas du tout.
Elle me rejoint quelques minutes plus tard, m'enlace me fait de douces caresses dans le dos avec ses mains d'ange. Est-ce ça l'amour ?
Son corps parfait, ses mains douces puis sa couche la protégeant comme une enfant encore faible et fragile, ses yeux noisettes me dévorent, elle est délicieuse. Le moment est tellement magique qu'il m'aura fallut presque 10 minutes pour m'apercevoir de l'état déplorable de sa couche.
En effet la couche qui était blanche ce matin, l'est moins ce soir, et c'est peu dire qu'elle en est même totalement jaune. Loin de me repousser, je suis heureux de savoir qu'elle me demandera surement de la changer, avec son même regard innocent et angélique. Je ne dis rien pour l'instant pour profiter du moment, nous allons manger.
Fin du repas, nous sommes épuisés, nous allons nous coucher sans même se changer, d'ailleurs ça m'étonne que Clémence garde une couche dans un tel état pour dormir, je ne préfère rien dire, nous nous endormons blotti l'un contre l'autre.
Ce matin, c'est encore moi qui me réveille le premier, sauf que ce n'est pas le soleil qui m'a fait sortir des bras de Morphée mais l'odeur qui envahit la chambre. Clémence aurait t-elle vraiment osez salir sa couche d'autre chose que d'urine ?
Mes interrogations se confirment lorsqu'elle se réveille, elle commence par s'étirer, puis fait une drôle de tête en constatant soudainement l'état de sa couche. Elle pense surement être allé trop loin, se met à pleurer et s'agrippe dans mes bras.
Nous allons ensuite dans la salle de bain où je lui fait la toilette, la lange en ajustant du mieux possible la couche afin d'éviter un accident car nous allons aujourd'hui en ville.
Nous parlons sur le trajet du prétendu accident de cette nuit, elle me dit que c'est la première fois mais je ne la croit pas, je pense surtout qu'elle tire une grande jouissance de cette situation et qu'elle a un penchant pour la pratique du port de la couche. Je rentre tout de même dans son jeux et je fais celui qui compatit et qui la soutient dans son "problème".
Une fois en ville nous allons dans plusieurs boutiques, la journée passe tandis que la couche de Clémence trépasse au fil de l'après midi. Nous allons en fin de journée à la pharmacie pour lui reprendre des protections, je dis à Clémence de rester dans la voiture, je décide de la surprendre.
J'entre dans la pharmacie, prend un paquet de abriform x-plus, un de Tena slip maxi puis un paquet de laxatif. Je rentre ensuite dans la voiture avec tout ce que je viens d'acheter dans un sac pour ne pas qu'elle l'aperçoive puis nous décidons d'aller manger un Mac-do.
En arrivant au Mac-do, nous commandons chacun notre menu puis nous nous asseyons à une table. Clémence se tortille.
- ça va ?
- Oui j'ai envie d'aller aux toilettes.
- Fais dans ta couche je te changerai.
- Non elle est déjà trempée elle va fuir.
- Viens on va aux toilettes.
J'emmène Clémence aux toilettes, elle fait moins la fière et se rend compte qu'il est plus facile de jouer au bébé quand on est tous les deux que quand on est en public. Je la prends par la main, la tire à son insu à la zone réservée aux bébé avec une table de lange. Elle refuse d'abord, effrayée, que je la change ici alors qu'une mère pourrait venir avec son bébé à n'importe quel moment pour le changer, mais en réfléchissant à l'urgence de se changer elle n'a pas d'alternatives.
- Viens tu vas me changer aux toilettes, je peux rester debout.
- Non tu veux jouer au bébé, on le fait jusqu'au bout, tu as une couche trempée comme une fillette tu assumes et je te traites comme telle.
Elle rougit, comprend que j'ai saisi son vice, s'allonge sur la table à langer, malgré l'humiliation elle a l'air de tirer quand même du plaisir de cette situation embarrassante. J'enlève sa jupe puis sa couche imbibée d'urine avant de lui faire une brève toilette, elle a peur que quelqu'un arrive et me demande de me dépêcher, j'en joue et prend mon temps en lui glissant lentement la couche sous ses fesses parfaites.
Pris d'une certaine folie et en voyant qu'elle a l'air excité de vivre cette situation embarrassante, je passe ma main sur son vagin puis fais de brefs jeux de doigts pour l'exciter, elle simule un refus mais son excitation augmente, j'accélère le va et viens et ça dégénère, je parcours son corps elle contemple le mien et enfin, nous faisons ce qu'il devait arriver de la manière la plus sensuelle et romantique, douce et tiède que je n'avais pu imaginer jusqu'à ce jour.
Après nos affaires je finis de la changer, lui fait lever les fesses et glisse sans qu'elle ne s'en rende compte deux suppositoires à la glycérine dans ses fesses avant de refermer sa couche. Fatigués et affamés nous reprenons place à table puis mangeons tout en parlant.
Une fois le repas fini j'emmène Clémence au cinéma, devant le film elle commence à ressentir l'effet des laxatif sans même se douter en avoir dans le ventre. Elle se retient durant le film de la manière la plus discrète qu'elle puisse, à la fin du film elle veut aller aux toilettes mais je l'en interdit.
-Je vais aux toilettes j'ai très envie d'y aller et je ne veux pas faire la commission dans ma couche.
-Non Clémence, tu assumes ta couche jusqu'au bout.
Désespérée et se prenant au jeux tant bien que mal, elle me suit et d'un coup se plie en deux, se met à lâcher plusieurs pets assez bruyants durant une trentaine de secondes et se décontracte peu à peu, soulagée mais humiliée, elle me regarde et voit que trois ou quatre autres personnes ont assisté à la scène, elle se met à pleurer puis se jette sur moi et me prend dans ses bras comme une enfant qui se cache dans les bras de son papa.
Nous vivons depuis une vie intense et fusionnelle, passionnée et romantique qui me redonne gout à la vie. Les jours sont souvent fait de petites aventures que nous partageons tous les deux, nous ne nous ennuyons jamais. Je suis son père parfois et son mari tout le temps, elle est ma fille et ma femme constamment. Nous nous aimons et vivons le bonheur tel je pouvais l'imaginer de la manière la plus idéaliste et abstraite auparavant.
'Le meilleur moyen de répandre le bonheur est de le partager avec une autre personne".
études, le savoir m'intéresse, constamment à l'affût d'enrichir ma culture, l'argent ne m'attire pas j'en possède suffisamment. Je ne
peux pas me venter d'être aisé, cette situation n'est pas cause de mes efforts mais de l'héritage de ma famille. Je voyage où vagabonde, je ne sais pas vraiment, depuis plusieurs années je fais comme bon me semble et profite de la vie comme je le peux.
L'avion atterrit, je ne me sens pas plus chez moi qu'ailleurs, je sors de l'engin seul et rentre dans l'aéroport après quelques pas sous une
véritable tempête. Fatigué du voyage et du décalage horaire, me rend aux toilettes pour vider ma vessie et ma tête de ce long trajet.
J'appelle ensuite un taxi, afin de me rendre à Paris, pour enfin rentrer dans ma demeure. La nature en ayant décidé autrement se déchaîne et la grêle se mettant à tomber devient un véritable danger, le taxi me rappel et m'annonce qu'il ne pourra pas me prendre. Fatigué, dépité, je décide de prendre une navette pour me rendre à l'hôtel le plus proche afin d'y passer la nuit.
Chose faite, un homme en costard sors mes valises de la navette pour ensuite m'accompagner dans le hall d'entré de l'hôtel. Il semble débordé et repart aussitôt pour remplir la mission qui l'attend. Je me retrouve seul, l'atmosphère tiède et reposante de cet hôtel me fait doucement rêver jusqu'à ce qu'une jeune femme, âgée d'une vingtaine d'années tout comme moi, m'accoste et se doutant logiquement qu'une personne qui se rend dans cet hôtel n'est pas sans argent, me demande sans gène si je peux l'héberger une nuit dans ma chambre, peu l'importe si elle dort par terre ou sur un lit.
Exténué, galant et sous le charme d'une charmante fille de mon âge qui semble savoir qu'elle a un certain effet sur les hommes, j'accepte sans trop réfléchir. Je me rend au comptoir accompagné de l'invitée inconnue puis prend une chambre pour la nuit.
La chambre n'est pas très grande mais luxueuse, une grande baie vitré en face du lit deux places laisse voir un magnifique couché de soleil qui offre à la pièce un reflet orangé des plus reposants. Deux tables de nuits en chêne sont situées de part et d'autre du grand lit blanc sur lequel je m'empresse de m'allonger après avoir jeté mes valises sur le canapé en cuir de buffle. La fille a disparu dans la salle de bain dès notre arrivée dans la chambre, je tombe dans un sommeil léger, sans m'inquiéter de ce qu'elle peut bien faire.
Soudain, un bruit me fait sortir de mon état de semi-somnolence, la silhouette de l'inconnue sortant de la salle de bain s'approche de moi dans le noir, le soleil ayant laissé place à la lune qui éclaire désormais juste ce qu'il faut pour me permettre d'apercevoir la silhouette de cette dernière. Ce long et pesant silence est brutalement interrompu.
-Je ne me suis pas présenté, je m'appelle Clémence.
-Enchanté Clémence.
-Merci de m'héberger cette nuit, je ne sais pas ce que j'aurais fait sans vous.
-C'est normal.
-Bon et bien je vais dormir sur le canapé si vous voulez.
-Non, surtout pas, venez dans le lit je vais dormir dans le canapé.
-Merci, mais restez dans le lit, il est assez grand pour deux personnes, on peut se tutoyer si ça ne vous dérange pas ?
-Ca ne me dérange pas du tout.
Clémence prend donc place à mes côtés dans le lit, elle s'endort directement. Je n'arrive pas à m'endormir avec cette présence à mes côtés, je n'ai pas l'habitude de dormir avec quelqu'un. Au bout de quelques minutes, un bruit de frottement étrange m'interpelle lorsque Clémence se met à bouger dans son sommeil. Je cherche alors sa provenance et n'y parviens pas puis j'arrive finalement à m'endormir...
Réveil agréable, je regarde sur mon téléphone, il est 10 heures et le soleil est revenu aujourd'hui, Clémence dort encore elle doit avoir une vie mouvementée pour dormir autant. Je vais dans la salle de bain, constate l'état déplorable dans lequel elle l'a laissée et j'aperçois un arsenal des moins banals sur le rebord du jacuzzi. Je m'approche et me rend compte que se dresse devant moi le matériel
nécessaire pour langer un nouveau née, du talc, un paquet de couches aux motifs enfantins, des lingettes ...
Je pense d'abord que Clémence a un bébé mais alors pourquoi avoir sorti le matériel pour le langer si son bébé n'est pas avec elle ?
Ou bien cet attirail aurait-il un rapport avec le bruit infernal de frottement que j'ai entendu toute la nuit, elle porterait des couches à son âge ?
Un bruit survient, Clémence se réveil, elle se lève et semble approcher de la salle de bain. Je n'ai pas fermé la serrure, elle entre donc et me surprend proche de ses affaires. Qui de nous deux est le plus gêné à ce moment précis, je ne saurais le dire.
Elle rougit, je palis, mes doutes se confirment elle est effectivement vêtue d'un pyjama léger laissant apparaître une épaisse couche volumineuse en dessous. Elle me regarde comme un enfant qu'on fâche ou bien qui vient d'être pris en train de faire une bêtise.
Elle me bafouille quelques mots laissant deviner une certaine honte.
-Euhh.. Je... J'ai..
-Oui ?
-...
-Tu sais ce n'est pas dramatique d'avoir une maladie.
-Les gens se moquent de moi d'habitude...
-Ils ont une vie bien triste si ils s'attardent sur ta maladie ...
-Merci de me comprendre, ce n'est pas facile tout les jours.
Je sors alors de la salle de bain, c'est tout de même étrange qu'elle ait laissé tant d'indice de son problème si elle ne voulait pas que je le
découvre. Clémence sort soudain de la salle de bain, Dévêtue avec comme seul vêtement une couche, elle prend un air enfantin, rougit et verse une larme.
Elle me demande de la changer, prétextant ne pas y parvenir seule, n'ayant pas l'habitude de se changer elle même, compréhensif bien que soupçonnant un vice, j'accepte même si je ne sais pas faire. Elle me prit par la main, me tire dans la salle de bain et s'allonge au sol
sur le tapis car le marbre par terre est froid et peu confortable. Je prend donc une couche dans le paquet, lui demande ce qu'il faut d'autre, elle pointe du doigt le talc puis me guide dans les étapes, je défais les scratchs puis rabat le devant de la protection, exposant son sexe encore humide devant moi.
Elle semble excitée puis honteuse à la fois, je n'y comprend plus grand chose mais continue à suivre sa voix. Elle soulève ses belles fesses de grande enfant pour me permettre de retirer la couche, chose faite elle lève les deux jambes exposant sans gène son sexe et ses fesses devant moi, la nymphe parle toujours, je suis ses directives et talc son derrière rebondi puis son sexe après l'avoir essuyé avec une lingette, sa voix sanglote légèrement à ce moment précis. Je glisse une nouvelle couche sous elle puis la referme en faisant comme elle me le dit.
C'est la première fois que je ressens quelque chose d'aussi intense, un nouveau plaisir ou bien une nouvelle sensation, l'inconnue m'a rendu ad dicte à elle, tout se chamboule dans ma tête, tout est flou. Je l'aime sans la connaitre. Elle me regarde satisfaite ,puis d'un air passionnée me fixe un long moment jusqu'au retour à la réalité ou nous nous sentons tous deux gênés mais pourtant comblé.
-Merci
Me dit-elle, à quoi je ne répond rien. Je sors de la salle de bain puis nous descendons tous deux au restaurant pour y déjeuner, nous nous asseyons, après un bref instant un serveur vient demander ce que nous voulons, elle demande un chocolat chaud avec un croissant et de la confiture de groseille, je prend un café avec une tartine au miel.
Je réfléchis pendant ce repas à ce qu'il venait de se passer et déduis que Clémence n'a pas l'air plus malade que moi et qu'elle semble même prendre plaisir à jouer son jeux d'enfant incontinente, j'avoue
qu'il ne me déplaît pas non plus et décide de continuer à faire le naïf ou bien même à rentrer dans son jeux. Clémence prend la parole.
-Il va falloir se dire au revoir, tu vas rentrer chez toi et moi je vais continuer ma vie.
-Tu n'as pas de maison ?
- Non, je viens de tout quitter pour voyager et découvrir le monde.
-Tu comptes te rendre où à présent ?
-Je ne sais pas.
- Si tu le souhaite je t'héberge un moment dans mon domaine à Paris le temps que tu te repose.
-Non, ce serait bien mais tu as déjà fait beaucoup pour moi, je te remercie quand même.
-Si j'insiste, ça ne me dérange pas du tout.
-Très bien, alors si tu insistes mais je t'aiderai dans les corvées le temps de mon séjour.
Satisfait de constater qu'elle est d'accord pour venir passer du temps chez moi, je ne réponds rien et nous finissons le déjeuner.
Le temps s'est calmé, un taxi vient nous chercher puis 1 heure de route s'annonce devant nous ...
Puis, 30 minutes plus tard en pleine discussion avec Clémence je remarque qu'elle commence à se tortiller sur son siège, je lui demande si elle veut aller aux toilettes mais elle refuse, presque vexée, prétextant être assez grande pour prendre ses responsabilités et se retenir 30 minutes. Le voyage passe, l'envie de Clémence aussi apparemment car elle ne se tortille plus dans tous les sens, nous arrivons chez moi, une domestique vient prendre mes lourdes valises et celles de Clémence aussi. Nous allons dans le salon pour parler un peu, déjà complice malgré le peu de temps passé ensemble, nous allons nous baigner dans ma piscine, Clémence n'a pas de maillot de bain.
- Cela te dérange si je mets une protection d'eau par dessus ma couche ?..
-Non pas du tout.
Elle me rejoint quelques minutes plus tard, m'enlace me fait de douces caresses dans le dos avec ses mains d'ange. Est-ce ça l'amour ?
Son corps parfait, ses mains douces puis sa couche la protégeant comme une enfant encore faible et fragile, ses yeux noisettes me dévorent, elle est délicieuse. Le moment est tellement magique qu'il m'aura fallut presque 10 minutes pour m'apercevoir de l'état déplorable de sa couche.
En effet la couche qui était blanche ce matin, l'est moins ce soir, et c'est peu dire qu'elle en est même totalement jaune. Loin de me repousser, je suis heureux de savoir qu'elle me demandera surement de la changer, avec son même regard innocent et angélique. Je ne dis rien pour l'instant pour profiter du moment, nous allons manger.
Fin du repas, nous sommes épuisés, nous allons nous coucher sans même se changer, d'ailleurs ça m'étonne que Clémence garde une couche dans un tel état pour dormir, je ne préfère rien dire, nous nous endormons blotti l'un contre l'autre.
Ce matin, c'est encore moi qui me réveille le premier, sauf que ce n'est pas le soleil qui m'a fait sortir des bras de Morphée mais l'odeur qui envahit la chambre. Clémence aurait t-elle vraiment osez salir sa couche d'autre chose que d'urine ?
Mes interrogations se confirment lorsqu'elle se réveille, elle commence par s'étirer, puis fait une drôle de tête en constatant soudainement l'état de sa couche. Elle pense surement être allé trop loin, se met à pleurer et s'agrippe dans mes bras.
Nous allons ensuite dans la salle de bain où je lui fait la toilette, la lange en ajustant du mieux possible la couche afin d'éviter un accident car nous allons aujourd'hui en ville.
Nous parlons sur le trajet du prétendu accident de cette nuit, elle me dit que c'est la première fois mais je ne la croit pas, je pense surtout qu'elle tire une grande jouissance de cette situation et qu'elle a un penchant pour la pratique du port de la couche. Je rentre tout de même dans son jeux et je fais celui qui compatit et qui la soutient dans son "problème".
Une fois en ville nous allons dans plusieurs boutiques, la journée passe tandis que la couche de Clémence trépasse au fil de l'après midi. Nous allons en fin de journée à la pharmacie pour lui reprendre des protections, je dis à Clémence de rester dans la voiture, je décide de la surprendre.
J'entre dans la pharmacie, prend un paquet de abriform x-plus, un de Tena slip maxi puis un paquet de laxatif. Je rentre ensuite dans la voiture avec tout ce que je viens d'acheter dans un sac pour ne pas qu'elle l'aperçoive puis nous décidons d'aller manger un Mac-do.
En arrivant au Mac-do, nous commandons chacun notre menu puis nous nous asseyons à une table. Clémence se tortille.
- ça va ?
- Oui j'ai envie d'aller aux toilettes.
- Fais dans ta couche je te changerai.
- Non elle est déjà trempée elle va fuir.
- Viens on va aux toilettes.
J'emmène Clémence aux toilettes, elle fait moins la fière et se rend compte qu'il est plus facile de jouer au bébé quand on est tous les deux que quand on est en public. Je la prends par la main, la tire à son insu à la zone réservée aux bébé avec une table de lange. Elle refuse d'abord, effrayée, que je la change ici alors qu'une mère pourrait venir avec son bébé à n'importe quel moment pour le changer, mais en réfléchissant à l'urgence de se changer elle n'a pas d'alternatives.
- Viens tu vas me changer aux toilettes, je peux rester debout.
- Non tu veux jouer au bébé, on le fait jusqu'au bout, tu as une couche trempée comme une fillette tu assumes et je te traites comme telle.
Elle rougit, comprend que j'ai saisi son vice, s'allonge sur la table à langer, malgré l'humiliation elle a l'air de tirer quand même du plaisir de cette situation embarrassante. J'enlève sa jupe puis sa couche imbibée d'urine avant de lui faire une brève toilette, elle a peur que quelqu'un arrive et me demande de me dépêcher, j'en joue et prend mon temps en lui glissant lentement la couche sous ses fesses parfaites.
Pris d'une certaine folie et en voyant qu'elle a l'air excité de vivre cette situation embarrassante, je passe ma main sur son vagin puis fais de brefs jeux de doigts pour l'exciter, elle simule un refus mais son excitation augmente, j'accélère le va et viens et ça dégénère, je parcours son corps elle contemple le mien et enfin, nous faisons ce qu'il devait arriver de la manière la plus sensuelle et romantique, douce et tiède que je n'avais pu imaginer jusqu'à ce jour.
Après nos affaires je finis de la changer, lui fait lever les fesses et glisse sans qu'elle ne s'en rende compte deux suppositoires à la glycérine dans ses fesses avant de refermer sa couche. Fatigués et affamés nous reprenons place à table puis mangeons tout en parlant.
Une fois le repas fini j'emmène Clémence au cinéma, devant le film elle commence à ressentir l'effet des laxatif sans même se douter en avoir dans le ventre. Elle se retient durant le film de la manière la plus discrète qu'elle puisse, à la fin du film elle veut aller aux toilettes mais je l'en interdit.
-Je vais aux toilettes j'ai très envie d'y aller et je ne veux pas faire la commission dans ma couche.
-Non Clémence, tu assumes ta couche jusqu'au bout.
Désespérée et se prenant au jeux tant bien que mal, elle me suit et d'un coup se plie en deux, se met à lâcher plusieurs pets assez bruyants durant une trentaine de secondes et se décontracte peu à peu, soulagée mais humiliée, elle me regarde et voit que trois ou quatre autres personnes ont assisté à la scène, elle se met à pleurer puis se jette sur moi et me prend dans ses bras comme une enfant qui se cache dans les bras de son papa.
Nous vivons depuis une vie intense et fusionnelle, passionnée et romantique qui me redonne gout à la vie. Les jours sont souvent fait de petites aventures que nous partageons tous les deux, nous ne nous ennuyons jamais. Je suis son père parfois et son mari tout le temps, elle est ma fille et ma femme constamment. Nous nous aimons et vivons le bonheur tel je pouvais l'imaginer de la manière la plus idéaliste et abstraite auparavant.
'Le meilleur moyen de répandre le bonheur est de le partager avec une autre personne".
Doumdu21, Posté le dimanche 05 mars 2017 10:05
Très belle histoire comme moi ma copine me met des couches et me donne la fessée